Je m'balladais, sur l'avenue, le coeur ouvert, à Maraudon hier soir ... (ok, je sort --> [ -] )
On la refait.
Hier soir, en pick up à Maraudon (Athéna, Keldornet Unity y étaient parti sans moi, apparment jT pas là) je suis tombé sur 4 gens bien gentils, et au fil de la discussion, j'ai vite récupéré le lead sans trop savoir pourquoi. Et puis un mot en whisp d'un des membre du groupe qui disait en substance, qu'ils avaient de la chance, cT pas tout les jours qu'on avait un chrysanthème dans le groupe. Voilà, ça m'a agréablement surpris de voire qu'on avait notre petite réputation et que certains nous connaissent de réputation.
Voilà, petite anecdote d'une journée au buro bien calme.
Pour la petite histoire, on est pas arrivé au bout (bien qu'ayant largement les capacités) à cause de frictions entre membres du groupe (2 paires de joueurs de 2 guildes différentes) mais en tt cas le pretre 51 (Haldes) était bien sympa ainsi que son compère guerrier 48 (marappellepluslenom).
... ce qui m'ammène au 2ème point : j'ai été effarré (appeuré ?) de la force des propos que certains tiennent dans un JEU (qui ont en l'occurence provoqués l'éclatement du groupe). Je me demande encore quelle est cette définition du mot "jeu" où chaque action est capitale, où le moindre faut pas vous condamne à perpetuité à la n00bitude absolue (je dois détester ce mot là au moins qutant qu'Eparsyl, bien que je l'utilise parfois pour me rappeller pour parler de moi). Je me demande aussi quelle est cette fièreté déplacée, cette intolérance qui fait que la moindre critique provoque la furie, l'indignation (ou tout simplement le départ) de qqun qui jusque là jouait très bien ?
Est-ce que c'est tenable en raid instance à 15, 30, 40 ...? comment fait-on pour dire à un gars que là ça suffit, il arrête de faire son coq et se remet à jouer. Comment est-ce que'on dit à l'autre en face que oui, il a fait une erreur, mais que c pas la mort, y a eu d'autres wipes avant , y en aura d'autres après ...?